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Lors de son massacre, Mohamed Merah était déjà connu des renseignements généraux et selon des documents publiés par les médias, il aurait même été classé comme un "djihadiste radical" dès son plus jeune âge. Le jeune homme avait basculé dans le radicalisme religieux à la suite notamment d'un passage de quelques mois en prison pour des délits très mineurs.
Son grand-frère l'aurait aussi initié à ce radicalisme. Son frère était déjà connu des services de police comme individu dangereux et radical. Les renseignements généraux avaient publiés plusieurs notes pour dénoncer cette radicalisation du jeune homme. Toutes ces notes avaient envoyées à la Sécurité Publique de la Haute-Garonne afin qu'une surveillance plus importante soit faite sur le jeune homme afin d'avoir une visibilité sur ses faits et gestes afin qu'il ne dérape pas.
Mais malgré ces notes, plusieurs voyages à l'étranger et notamment au Pakistan et en Afghanistan pour des raisons aussi rocambolesques les unes que les autres, le jeune homme a réussi à passer entre les mailles du filet et à mettre en oeuvre son parcours macabres. Un an après les faits, les familles des victimes demandent que toute la lumière soit faite sur les fautes de chaque services concernant la surveillance de ce jeune homme qui était déjà connu des plus hauts services de renseignements français. L'affaire Mohamed Merah n'a pas fini de faire des remous dans les mois à venir ? Affaire à suivre !
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