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L'artificier d'Action directe Max Frérot doit être transféré ce mardi du centre de détention de Lannemezan (Hautes-Pyrénées) au centre de semi-liberté de Nîmes (Gard), a-t-on appris de source proche du dossier. L'artificier d'Action directe Max Frérot doit être transféré ce mardi du centre de détention de Lannemezan (Hautes-Pyrénées) au centre de semi-liberté de Nîmes (Gard), a-t-on appris de source proche du dossier. Une source judiciaire avait indiqué lundi à l'AFP que Max Frérot travaillerait au sein d'une association culturelle liée aux éditions Actes Sud dans le cadre de son régime de semi-liberté. Une source à la direction de la maison d'édition arlésienne avait confirmé qu'il s'agissait de l'Association du Méjan, se refusant à tout autre commentaire. L'Association du Méjan a été créée en 1984 par les fondateurs d'Actes Sud pour organiser des manifestations culturelles dans la ville d'Arles. Le président de l'association, Hubert Nyssen, préside aussi le conseil de surveillance de la maison d'édition tandis que sa trésorière, Françoise Nyssen, préside le directoire d'Actes Sud. La cour d'appel de Paris avait décidé le 9 juin d'accorder une mesure de semi-liberté à Max Frérot, 52 ans, qui a effectué 22 ans de prison pour des attentats et des meurtres après deux condamnations à la réclusion criminelle à perpétuité. La semi-liberté constitue un premier pas vers une libération conditionnelle. TV5 Copyright cabinetsavocats.com |
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